Critiques
Recommandé par le magazine Javeriana, Bogota, Colombie, édition d'octobre et décembre 2019 Flor de Araribá de Gloria Macher, édition d'octobre 2019 Protocolo 48 par Gloria Macher, numéro de décembre 2019
Revue d'Abel Fuchslocher
2019/04/19
Protocolo 48 est le nouveau livre — le sixième — de la prolifique écrivaine hispano-canadienne Gloria Macher. Cette histoire nous entraîne dans le monde ultra-régulé du système public de santé et dans les paradoxes qu’il peut receler. L'œuvre a été finaliste pour le IV Prix Narratif International "Romans Exemplaires" 2018, de la Faculté des Lettres de l'Université de Castilla-La Mancha, en Espagne. Estanislas Albenda est un fonctionnaire du ministère de la Santé qui travaille au cœur même de la bureaucratie du système public, élaborant des réglementations, des procédures et des documents pour que l'appareil de santé publique fonctionne parfaitement.
Il se voit pris au piège dans les mâchoires du système, mais pas comme les personnages de Kafka, qui sont dévorés par le système sans que ce soit de leur faute, mais comme une victime de ses propres efforts pour instaurer un ordre inviolable dans chaque activité d'un hôpital. Mais de l’intérieur, c’est très différent. Incroyablement, Estanislao découvre de l'autre côté de la médaille l'anarchie de la bureaucratie, le chaos de l'ordre, et se voit aliéné par le système, par son système.
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L'écrivaine Gloria Macher raconte cette histoire avec sa proximité habituelle, typique du réalisme magique, jouant avec un humour subtil pour établir une critique toujours valable du système de santé publique.
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Entretien avec l'écrivain docteur Nigel Thomas à propos de Flor de Araribá
Maison des écrivains de l'UNEQ (Union des écrivains du Québec) à Montréal, Canada
17 mai 2018
Interview/Discussion/Revue de Flor de araribá
Librairie Espace Culturel Verbum, Madrid
22 mars 2018
https://editorialverbum.es/presentacion-flor-arariba-gloria-macher
Commentaires de l'écrivain Angel Mota sur Viajando por precipicios
Extrait des propos de l'écrivain Ángel Mota, PhD en littérature comparée de l'Université de Montréal lors de la présentation du livre Viajando por precipicios de Gloria Macher à la Maison des écrivains de l'UNEQ, à Montréal, Canada, le 23 mars 2017. "La première chose qui m'a frappé, c'est que dans chaque histoire, la narratrice raconte des réalités étrangères à d'autres pays comme si elles étaient les siennes. Et c'est très rare." « Il y a une empathie totale et un sens social dans chaque histoire qui nous fait réfléchir. Nous ne pouvons pas rester insensibles à ce que nous lisons ».
Blog de Verbum Publishing : - Roxana Orué critique Viajando por precipicios, de Gloria Macher, juillet
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https://editorialverbum.es/roxana-orue-resena-viajando-precipicios-gloria-macher
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Dialogue entre le Dr Lady Rojas et Gloria Macher, janvier 2017
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http://editorialverbum.es/dialogo-con-la-novelista-gloria-macher
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Participation du Dr. Carolina Ferrer, professeure à l'Université du Québec à Montréal lors de la présentation de La gringa del parque à la Librerie Las Américas à Montréal, en 2016.
Elle souligne la réflexion sur l'identité et situe le roman dans une perspective féministe.
Extrait de l'analyse littéraire du dr. Lady Rojas Benavente, professeure à l'Université Concordia à Montréal et directrice de la Canadian Critical Literary Association for Hispanic American Writers (CCLEH), sur Gloria Macher et son récit conflictuel et vital lors de la présentation du roman MI Reina à la Maison des écrivains du Québec de l'UNEQ à Montréal, le 8 octobre 2015.
Le Dr Lady Rojas Benavente souligne la capacité de la littérature, comme c'est le cas de Mi reina, avec sa position alternative et humaniste, basée sur une philosophie épicurienne et écologique, à nous réveiller et à nous insuffler la volonté d'exiger des transformations dans les domaines de la médecine et ainsi d'augmenter la qualité de vie de ceux qui souffrent de maladies, comme la maladie d'Alzheimer
Extrait de l'analyse littéraire du Dr Lady Rojas Benavente sur Las arterías de don Fernando par Gloria Macher, Montréal, Canada, lors de la présentation du roman Las arterías de don Fernando à la Maison des écrivains du Québec de l'UNEQ à Montréal, le 8 octobre 2015.
En quoi Macher agence-t-il les relations complexes entre classe, ethnie et genre dans la réalisation des désirs du protagoniste de savourer un certain pouvoir dans un Pérou fortement hiérarchisé, depuis la conquête espagnole en raison du statut social, de la pigmentation raciale et de la sexualité masculine ? Pour répondre à ces préoccupations, le Dr Lady Rojas Benavente oriente la recherche avec la méthodologie postcoloniale qui aborde le concept de colonialité mis en application, ce qui nous permet de comprendre le contexte historique et culturel d'une nation aux caractéristiques hiérarchiques, racistes et chauvines dans les années 70-80 du XXe siècle.
Événement : Critique de Mi Reina et Las Arterias de Don Fernando de Rosario Martínez, écrivain et critique littéraire
Organisme : Éditorial Verbum Blog
Lieu: Madrid Espagne
Date : Juin 2015
Parsemé de la prose brillante, intelligente et précise de Gloria Macher, qui utilise un style direct, sans ambiguïté ni licences extralittéraires, il y a de gentilles notes d'humour qui réconcilient le lecteur avec le cadre psychologique tordu du protagoniste.
Événement : Entretien avec l'écrivain Francisco García González sur Ma Reine
Organisme : Blogue de La Cultural de Montréal
Lieu: Montréal, Canada
Date : 20 septembre 2014
Gloria Macher : "Tout ce qui est hors norme, ou ce qui n'est pas compris, agace, effraie, nous rend inconfortable"
Événement : Le blog d'Elga Reátegui, écrivain et journaliste
Lieu: Valence, Espagne
Date : Septembre 2014
Gloria Macher : "Le succès consiste à surmonter la peur de l'échec"
Propos d'Abel Fuchslocher, journaliste, chroniqueur, écrivain chilien
Montréal, septembre 2014
...L'un des points forts du roman est l'immersion dans le courant de conscience du protagoniste et des autres personnages... Je dirais, et ici pour finir, que l'aspect constant de l'œuvre est sa proximité, sa chaleur. Gloria Macher est un écrivain un peu atypique, elle écrit sans prétention, d'où l'humilité dont elle parlait au départ. L'humilité est une valeur rare chez les écrivains, moi y compris. Il est difficile d'écrire avec humilité. Difficile de ne pas vouloir écrire le prochain best-seller, ou de ne pas rêver d'être le nouveau Cortázar... L'écriture de Gloria se montre sans vanité, sans arrogance, j'oserais dire cela même avec un peu de candeur, ce qui fait la différence dans ses textes, qui brillent par leur proximité et leur humanité.
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Librairie Las Americas Blog Montréal, Canada:
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http://librairielasamericas.blogspot.ca/2014/05/novedad-literaria-mi-reina-de-gloria.html?spref=fb
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Mi Reina est une œuvre intime et proche qui illustre avec honnêteté et tendresse le processus par lequel Alzheimer s'empare peu à peu de la mémoire, et de la vie, du protagoniste. Stylistiquement parlant, le point fort, ce sont les élucubrations du narrateur et des personnages. Sous la forme d'un fort courant de conscience utile au travail, cet élément sert à établir clairement les points clés du texte. Le portrait déchirant d'Alzheimer -au début-, la lente invasion de la maladie dans les pensées d'Esperanza, l'affection attachante de María del Pilar pour le protagoniste, la propre critique de l'infirmière de la froide logique médicale, les concepts de temps et de mort, entre autres
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Blog de Librairie Las Américas Montreal, Canadá:
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http://librairielasamericas.blogspot.ca/2013/07/las-arterias-de-don-fernando-de-gloria.html
Las Arterias de Don Fernando
Commentaires du poète, critique littéraire et journaliste péruvien Juan Carlos de la Fuente, 2013
...Gloria Macher nous récupère une manière directe de raconter, sans concessions rhétoriques ni mécanismes de déviation technique. Pour elle, les mots sont des instruments narratifs et non des jeux sans intrigue. Dans son roman, il n'y a pas de moments où l'histoire cligne de l'œil ou réclame son repos. Tout coule du début à la fin et ne s'écarte pas de son objectif essentiel : le récit. Et c'est que le roman de Gloria Macher a la recherche de la vérité comme son plus grand pari. Il n'y a pas d'impunité sur ce qui compte : au-delà de ce que le regard perçoit, il y a ce que notre propre regard peut voir en nous.
Las Arterias de Don Fernando
Commentaire de la poétesse péruvienne, narratrice, éditrice Marita Troiano, 2013
Le blog d'Elga Reátegui, écrivain et journaliste
Lieu : Valence, Espagne
Date : Août 2013
Le blog d'Elga Reategui
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http://elgareategui.blogspot.com.es/2013/08/gloria-macher-giramos-como-trompos-para.HTML